Une quinzaine de jeunes Franciliens qui s’installent dans la Beauce, pour y construire un écolieu autonome en énergie et (partiellement) en nourriture, forcément ça détonne dans la région des cultures céréalières extensives.
Le projet, qui repose sur un statut de Société civile immobilière, fonctionne de façon horizontale, partageant les décisions au sein du groupe.
Au-delà de l’inspiration permacole et de la sobriété énergétique de ce projet, sa dimension collective assumée, de la part d’une génération accoutumée aux colocations, et qui ne se reconnaît pas nécessairement dans le modèle familial traditionnel, mérite d’être examinée.